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Homs – SANA /Pour des objectifs politiques et des ambitions qui sont clairs, les États-Unis continuent à séquestrer des milliers de Syriens déplacés par leurs outils criminels en les empêchant de quitter le camp de Rukban dans la zone de Tanf à la frontière syro-jordanienne, et de retourner dans leurs zones libérées du terrorisme par l’armée arabe syrienne.
Les forces d’occupation américaines déployées dans la zone de Tanf directement et par ses outils des groupes terroristes ont empêché des milliers de Syriens déplacés et séquestrés dans le camp de Rukban de le quitter pour retourner dans maisons et leurs villages libérés et les terroriser pour les dissuader de réclamer le retour.
Si l’occupation américaine avait permis aux Syriens déplacés dans le camp de Rukban d’en sortir vers les zones de contrôle de l’État syrien ou vers les centres d’hébergement temporaires créés par les deux parties, russe et syrienne, elle perdra une carte de pression sur l’État syrien et ses alliés. Car Washington prétend toujours que le gouvernement syrien qui est derrière le déplacement de ces personnes.
De l’autre part, la superficie géographique du camp constitue une artère vitale et stratégique sur la route reliant Damas à Bagdad, et c’est pour ce but que la base illégale de Tanf a été créée afin de couper les liens entre les pays de l’axe de la Résistance.
Lors d’une réunion conjointe tenue à Moscou sur le retour des personnes déplacées en Syrie, le chef du Centre national de contrôle de la défense de la Fédération de Russie, le général Mikhaïl Mezintsev, a affirmé que les forces d’occupation américaines continuent à entraver la volonté des habitants du camp de Rukban de retourner à leurs lieux de résidence, ajoutant que ‘’Rien n’empêche les résidents du camp à rentrer chez eux, sauf les États-Unis, en s’efforçant à induire en trompant les syriens déplacées qu’il est impossible de quitter le camp.
D.H./ L.A.
