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Damas-SANA / Des nouvelles preuves se dévoilent de temps en temps, confirmant la complicité de certains de la soi-disant «opposition» avec le complot américano-israélien visant à déstabiliser la Syrie, avant même la guerre terroriste contre la Syrie, en recevant un soutien financier de Washington, qui les avait utilisés dans la crise en tant qu’outil pour atteindre ses objectifs destructifs en Syrie.
Kamal al Labwani, qui s’était rendu à plusieurs reprises en Israël au cours des dernières années pour solliciter le soutien et la protection des réseaux terroristes au sud de la Syrie, a reconnu, dans un enregistrement vocal, avoir visité les Etats-Unis en novembre 2005 et reçu un financement de 5 millions de dollars par an sous-titre d’un soutien aux médias d’opposition, précisant que les dirigeants de la prétendue «Déclaration de Damas» à l’étranger ont reçu la somme et en ont volé la majeure partie.
Labwani a reconnu qu’il n’était pas le seul à avoir une relation avec l’entité sioniste, soulignant que Anas Al-Abdeh l’avait précédé et avait communiqué avec les Israéliens en 2006.
Non seulement Labwani et Abdeh, le journaliste sioniste Eddie Cohen avait révélé plus tôt, que Issam Zeitoun avait également visité l’entité d’occupation, ce qui fait preuve sans équivoque de la relation entre la soi-disant « opposition syrienne » à l’extérieur et l’ennemi sioniste .
Ces personnes, qui résident dans des hôtels de luxe dans les capitales à l’étranger et pour confirmer leur lien avec l’occupant, ont annoncé début 2017 un plan incluant «la reconnaissance d’Israël et le déplacement de leurs relations avec ce dernier du stade de l’hostilité au stade de l’amitié». Parmi ces personnes figure : Nabil al-Dandal, qui avait appelé le sionisme dans une déclaration au journal sioniste Yedioth Ahronoth en 2017, à renforcer la coopération avec les réseaux terroristes en Syrie.
R.Bittar
