Un écrivain australien affirme que l’Occident a dessiné les faits en Syrie à partir d’histoires empoisonnées et fabriquées

Sydney-SANA/ L’écrivain australien, Dr Tim Anderson, professeur de sciences politiques à l’Université de Sydney, a affirmé que l’image dessinée par beaucoup, en particulier par l’Occident, sur la Syrie, est différente de la réalité, car ils s’appuyaient sur des histoires toxiques fabriquées par des employés agents dont leur mission était de déformer les faits et les événements en Syrie.

Anderson a indiqué, dans un message vidéo spécial adressé à la Sana que certains pays de l’OTAN, les Etats-Unis et un certain nombre de pays de la région, tels que la Turquie, l’Arabie saoudite et l’entité sioniste avaient soutenu l’infiltration de centaines de milliers de terroristes et de mercenaires en Syrie et leur ont fournis une protection pour y servir leurs plans.

Anderson a précisé que tous les récits promus par l’Occident sur ce qu’il a appelé le bombardement d’écoles et d’hôpitaux par l’armée syrienne étaient fabriqués par les terroristes al-Qaïda payés par les pays de l’OTAN et le réseau terroriste (Casques blancs) financé par la Grande-Bretagne et les Etats Unis.

Anderson a rendu hommage à la fermeté du peuple arabe syrien qui se tient aux côtés de son armée face à une guerre par procuration et à une occupation étrangère tout au long d’une décennie.

Anderson a également précisé que l’embargo imposé à la Syrie par un certain nombre de pays occidentaux vise à affamer tout le peuple syrien et à augmenter ses souffrances en raison de sa fermeté face au terrorisme, soulignant qu’il s’agit d’un siège criminel du même style que ce qui est pratiqué sur les peuples de Palestine, d’Irak, du Yémen et d’Iran.

B.D./R.B.

Check Also

Lors de son acceptation des lettres de créance de l’ambassadeur syrien, le président du Laos affirme la volonté de son pays de développer les relations entre les deux pays

Vientiane-SANA/ Thongloun Sisoulith, président de la République démocratique populaire du Laos, a affirmé la volonté …